Réflexion

Eden Hazard : passer à l’électrique pour montrer l’exemple

il y a 2 ans | Maxime Herion

Le ballon rond a fait les gros titres cet été avec l’Euro de foot. Retrouvons Eden Hazard…mais avec l’automobile comme fil rouge. Le capitaine des Diables Rouges et joueur du Real Madrid C.F., a rejoint le mouvement #ElectrifyTheWorld de Nissan pour amorcer un un virage en faveur de l'environnement.

L’été passé, on vous a vu au volant d’une Lamborghini Aventador SVJ équipée d’un moteur V12 de 770 chevaux. Et aujourd’hui, on vous retrouve à bord d’une Nissan Leaf 100% électrique. C’est un sacré mélange des genres !

Je touche à tout, en fait (rires)… J’ai la chance d’avoir plusieurs voitures, et chacune a une utilisation spécifique. Plus sérieusement, je suis l’heureux papa de quatre enfants et je dois leur montrer l’exemple. Beaucoup d’actions positives sont possibles, comme choisir un véhicule électrique pour exercer un impact positif sur la planète et la population.

 

Devenir ambassadeur Nissan va donc au-delà̀ du simple aspect marketing ?

En effet, il y a derrière ça une prise de conscience. Nous devons tous adopter aujourd’hui des changements pour assurer l’avenir de ce monde.

 

L’an passé, votre premier contact avec la Leaf avait été assez… « musclé ». Mais c’était la version Nismo RC.

Exact. Je l’ai découverte avec Olivier Rowland, pilote Nissan en Formula E, au cours d’une journée inoubliable sur le circuit de Valence. J’ai été́ littéralement bluffé par les accélérations et la puissance de cette voiture. Ça m’a donné envie d’opter pour un véhicule électrique.

 

Au quotidien, qu’appréciez-vous dans votre Leaf ?

Elle est super cool à l’intérieur comme à l’extérieur. Sa ligne est sophistiquée, son habitacle est futuriste et sa conduite très agréable, tout en silence.

 

Vous l’utilisez pour vous rendre au Real ?

Elle me sert surtout à emmener les enfants à l’école ou au sport et pour aller faire les courses. Nous avons une borne de recharge à la maison et cette voiture est parfaite pour les déplacements urbains, notamment pour se garer à Madrid.

 

Quel genre de conducteur êtes-vous ?

Plus jeune, j’étais vraiment fan de voitures. Lorsque je jouais au LOSC Lille et que j’ai commencé à gagner de l’argent, je me suis offert une Mini Cooper. J’aimais bien frimer avec. Mais je me suis rapidement calmé. J’ai eu mon premier fils à 19 ans et la sécurité a toujours primé. Aujourd’hui, je roule plutôt en bon père de famille.

 

Vous vous intéressez au sport automobile ?

Petit, je regardais beaucoup la Formule 1, mais maintenant je n’allume quasiment plus la télé… Par contre, j’aimerais vraiment aller voir un Grand Prix en vrai. C’est une expérience que je n’ai jamais vécue.

Mots-clés: Réflexion Actualités
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